Les évènements liés à la COVID-19 ayant conduit à la plus grave récession économique de notre civilisation moderne reposent sur une seule hypothèse scientifique que la médecine a posée : le virus est un ennemi à combattre.

Comme je l’ai développé dans le chapitre 2 « Coronavirus utile », cette hypothèse qui nous oblige à porter des masques comme des extraterrestres ayant atterri sur une planète dont l’atmosphère est hostile est-elle vraiment la bonne ?

Dans la nature, où tous les organismes vivent en symbiose, les virus ne jouent-ils pas un autre rôle que celui de prédateur dont le seul objectif est de nous tuer ?

Pour répondre à cette question on pourrait se demander à quoi servent les symptômes de cette maladie.

La toux n’est-elle pas le moyen que le corps utilise pour se débarrasser de quelque chose qu’il ne veut pas, comme lorsqu’on a avalé de travers ou inhalé un gaz toxique ? Lors d’une grippe ou d’un rhume, bien des matières remontent le long de la gorge. De la même façon que la bouche peut servir à manger et à vomir, les poumons qui nous servent à respirer pourraient aussi « vomir » des matières qui sont déjà dans notre organisme et qu’il voudrait éliminer.

Le nez qui coule ne serait-il pas aussi une autre manifestation de matières que le corps cherche à éliminer par ce biais ?

La diarrhée que le virus provoque dans certains cas, ne pourrait-elle pas également être un moyen que le corps utilise pour se débarrasser plus rapidement de matières qu’il voudrait éliminer ?

La fièvre ne pourrait-elle être une façon d’éliminer des matières par la sueur et de neutraliser des organismes indésirables en élevant notre température ? Les abeilles savent élever leur température pour tuer un prédateur qui s’est introduit dans leur ruche, heureusement qu’alors on ne leur donne pas du Doliprane !

Un virus pourrait-il avoir une utilité pour permettre au corps d’éliminer des matières indésirables ?

Les personnes qui décèdent d’une forme sévère de la maladie ne sont-elles tout simplement pas capables de faire cette élimination face à une trop grande quantité de ces substances indésirables accumulées dans leur organisme ?

Quelle est l’influence de l’alimentation dans le processus des infections virales et quelles matières indésirables le corps cherche-t-il à éliminer ?

Pour répondre à toutes ces questions, symbioplanet.com a pour mission de lancer un laboratoire de recherche en biologie moléculaire indépendant que chacun d’entre nous pourra aider à sa façon.

Contribution de suivi biométrique

Grâce à symbioplanet.com, il est possible de saisir l’ensemble de nos repas sur un tableau de bord en renseignant la quantité et la nature des aliments consommés chaque jour. La saisie vocale est rapide et non contraignante et elle permet d’avoir un historique alimentaire.

Parallèlement à cela, il est également possible de préciser l’évolution de nos paramètres vitaux, comme des analyses médicales, des tests virologiques ou des symptômes à décrire à destination du laboratoire de recherche en biologie moléculaire mandaté par symbioplanet.com afin qu’il puisse faire une analyse statistique à grande échelle.

La contribution de chacun permettra au laboratoire de référencer le passé alimentaire de tous ceux qui ont contracté ce virus ou un autre en décrivant les symptômes et le degré de gravité de la maladie. Mais l’expérience ne s’arrêtera pas là. Chaque participant pourra rejoindre un groupe lié à une étape de la progression vers notre carburant d’origine .

Étape 1 : repas de fruits – suppression de la cigarette et des drogues douces ou dures.

Étape 2 : repas de légumes crus – suppression des céréales et des féculents cuits.

Étape 3 : repas de protéines crues – suppression des produits laitiers.

Étape 4 : repas de casse – suppression de tous les repas cuits.

Étape 5 : consommation de notre carburant d’origine.

Cela permettra de savoir quels résultats sont obtenus à chaque étape. Avec ces informations, notre laboratoire de recherche en biologie moléculaire indépendant aura des statistiques très fiables puisque des millions de personnes seront inscrites.

Une fois que ces statistiques auront permis d’isoler le véritable tueur, le laboratoire aura pour mission de trouver par quel mécanisme le fonctionnement normal de notre organisme a pu être mis à défaut au point de faire vaciller tous nos modèles de sociétés. De plus, le laboratoire devra expliquer en quoi et comment un virus peut avoir une utilité, s’il parvient à démontrer qu’il déclenche une réaction d’élimination de matières indésirables.

Il faudra ensuite que la recherche s’intéresse à la nature de ces matières indésirables pour identifier les aliments qui en contiennent.

Contribution financière

Grâce au crowdfunding, chacun pourra contribuer au financement du laboratoire en fonction de ses revenus, que ce soit à hauteur de dix, cent, mille euros ou plus. Cela permettra à la recherche de trouver le lien scientifique entre les aliments et le dysfonctionnement de notre organisme face à un virus.

symbioplanet.com a pour mission de se servir de ce laboratoire pour mettre au point un appareil portatif de mesures capable de détecter l’origine des matières indésirables dans notre organisme et dans les aliments que les donateurs pourront commander en priorité avec une remise de cinquante pour cent du prix d’un appareil et ce dans la limite du montant qu’ils auront versé pour la recherche.

Les applications de cet appareil seront multiples. Il permettra par exemple d’identifier en temps réel les matières indésirables dans les émonctoires de notre corps. Une autre application pourra permettre de déterminer en temps réel la composition d’un aliment avant de l’acheter, comme, par exemple :

le taux de sucre pour une pastèque ou un melon,

le taux de radioactivité et de mercure pour les poissons ou la viande,

la présence d’un traitement par irradiation pour les nectarines ou, les avocats,

le taux de traitement par engrais chimiques et pesticides des carottes ou des radis,

le taux de polluants industriels dans des salades ou du persil récoltés près d’une usine.

Le laboratoire ne pourra évidement pas garantir que cet appareil verra le jour ou qu’il sera dès le début à un prix abordable, mais même sans cet appareil, si la contribution à cette recherche indépendante pourrait déjà permettre de démontrer scientifiquement que le coronavirus est utile pour éliminer des matières indésirables on aura un argument de poids crédible pour nous libérer de toutes les contraintes sanitaires que les politiques de tous les pays du monde se sont résolus d’imposer sur la base des sciences médicales qui ne sont pas exactes.

Alors je vous encourage à participer à ce crowdfunding dès maintenant, quelques Euros suffiront à symbioplanet.com pour manifester votre volonté d’apporter une autre réponse scientifique à notre monde vu qu’on est des milliards à souffrir de toutes ces mesures liberticides.

Si vous ne l’avez pas encore fait, lisez alors le chapitre 2 « coronavirus utile » si vous avez besoin d’un peu plus d’arguments pour vous convaincre de participer à ce crowdfunding dès maintenant.

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