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DONATION SYMBIOLABIO
Lorsque ma fille tousse, je n’ai pas le réflexe de lui dire qu’elle a attrapé froid puisqu’on habite en guadeloupe, mais je lui demande plutôt : « qu’est-ce que tu as mangé pour avoir besoin de le faire sortir par la gorge ? »

Lorsque j’ai une diarrhée, je me dis pas que je suis malade, mais je me demande quel est cet aliment que mon corps veut faire sortir si rapidement ?

Depuis tout petit, je me suis toujours intéressé à la cause alimentaire des problèmes, comme mes boutons qui sortaient sur mon visage proportionnellement à la quantité de chocolat que je mangais car après avoir lu la plupart des ouvrages sur la nutrition dès l’age de sept ans, je partais du principe que le corps est une machine biologique qui a une capacité unique à se réparer elle-même, et si elle n’y arrive pas, je me demandais d’abord si cela ne pouvait pas éventuellement venir du fait qu’on s’est écarté de la consommation de notre carburant d’origine.

C’est donc ce mois d’Août 2021 que je viens de créer le laloratoire de recherche en biologie moléculaire indépendant SYMBIOLABIO mais cela fait maintenant 50 ans que je fais déjà des recherches à ce sujet.

Le fait d’avoir fait la transition entre l’alimentation traditionnelle et la consommation de notre carburant d’origine il y a 30 ans, j’ai pu observer tout le travail d’élimination que notre corps humain est capable de faire pour se débarrasser de toutes les subtances indésirables accumulées dans notre métabolisme.

A cette époque, le docteur SEIGNALET avait déjà défini une liste de maladies d’élimination qui permettent à notre organisme d’éliminer des substances indésirables. C’est donc tout naturellement que je me suis posé la question de savoir si le coronavirus n’en ferait pas également partie.

L’approche scientique que je compte donner à notre laboratoire de recherche en biologie moléculaire indépendant SYMBIOLABIO consiste donc à identifier les substances indésirables éliminées par la COVID 19 pour savoir à quels aliments elles correspondent, et surtout de savoir pourquoi le corps chercherait à les éliminer.

En effet, il serait intéressant de pouvoir démontrer que le corps chercherait à éliminer ces substances indésirables introduites par une alimentation inapropriée pour éviter de souffrir d’une maladie dégénérative dont l’issue serait fatale si ces substances restaient enprisonnées dans l’organisme.

Par conséquent, si cette hypothèse s’avère juste, on pourrait donc trouver un rôle différent au coronavirus que celui d’un ennemi à combattre à tout prix si la nature nous l’a envoyé pour nous permettre d’éliminer des substances indésirables susceptibles de provoquer des maladies dégénératives statistiquement bien plus mortelles.

De la même façon qu’on vient a peine de découvrir que nous avons plus de bactéries dans nos intestins que de cellulles dans tous notre corps, et que ces bactéries sont très utiles pour notre immunité il serait maintenant possible de reconnaitre l’utilité de certains virus pour permettre au corps de faire ce travail d’élimination.

Cependant, je peux tout à fait comprendre que le coronavirus n’a pas été utile à tout le monde, notament pour ceux qui en sont mort ou qui gardent des séquelles à vie, toutes mes pensées allant à ces personnes et à leurs familles.

Mais si on veut être un peu logique il faut admettre que tout ce qui peut tuer n’est pas forcément inutile, prendre la voiture ou l’avion provoque un petit pourcentage de morts par accident alors qu’il est très utile de se déplacer et les médicaments et les vaccins peuvent également avoir des effets secondaires mortels et on ne les déclare par inutiles pour autant.

Alors si on fait l’hypothèse que c’est un programme d’élimitation prévu par la nature qui envoie les virus comme des messagers pour faire ce travail qui provoque moins d’un pour cent de décès on pourrait alors aussi l’évaluer sous le spectre du bénéfice / risque pour éviter des maladies qui provoquent près d’un mort sur deux. Mais la différence c’est qu’ici, notre laboratoire cherchera à démontrer que c’est le passif alimentaire qui est à l’origine du dérapage de ce processus d’élimination induit par le virus qui provoque l’emballement du processus quon appelle les formes graves et pas le virus lui-même.

Car tant que l’on se réfèrera à l’hypothèse de la médecine considérant le coronavirus comme un ennemi à combattre, je ne vois pas comment les médecins et les politiques pourraient abandoner toutes les mesures sanitaires liberticides, sauf si notre laboratoire de recherche réussit à démontrer scientifiquement l’utilité du virus dont le rôle prévu par la nature depuis des millions d’années serait d’éliminer des matières indésirables qui accumulées dans nos organismes sont susceptibles de provoquer des maladies dégérératives bien plus mortelles que le coronavirus au point qu’on pourrait même déclarer le coronavirus d’intérêt public, surtout si on réussit à identifier les aliments qui sont à l’origine des formes graves grâce aux moyens technologiques très évolués dont on dispose de nos jours et en étudiant le passé alimentaire dans la vaste étude épidiomologique à laquelle je vous popose de participer dès maintenant.

Avec une telle démonstration conduisant à déclarer le coronavirus d’intérêt public on pourrait faire instantanément tomber toutes les mesures sanitaires envers tous ceux qui ne sont pas concernés par les formes graves et peut-être qu’on découvrira quels aliments il conviendra de ne plus consommer pour les éviter.

Bien entendu, tant que tout ceci ne sera pas démontré je ne peux rien affirmer à ce stade, ne concluez surtout pas que j’incite qui que ce soit à contredire les autorités dans leur politique sanitaire, par contre j’ai l’espoir qu’ils pourront s’appuyer sur le résultat de cette étude à laquelle je compte apporter toute la rigueur scientifique pour qu’ils puissent libérer nos populations des lois sanitaires de la médecine dont je remets juste en question l’ypothèse comme quoi le coronavirus est un ennemi à combattre à tout prix.

Il faut savoir que le laboratoire de recherche en biologie moléculaire est indépendant en ce sens que ce sont vos dons qui sont à l’origine exclusive de son financement, la fourchette étant de 100 € à 1000 € maximum pour que personne ne puisse revendiquer une autorité pour dicter le sens à donner aux recherches s’il avait donné des millions, car si vous êtres plusieurs millions à contribuer pour notre laboratoire, il aura aussi des milliards pour mener ses recherches sauf qu’ici, le seul intérêt c’est de connaître la vérité sur le fonctionnement de notre corps et pas de vendre quelque médicament, vaccin ou remède que ce soit, d’autant plus que je ne suis même pas médecin pour y prétendre.

Par contre je vais m’entourer de chercheurs qui ont déjà avancé dans cette direction pour créer une synergie internationale pour obtenir les résultats le plus vite possible car le temps presse, l’enjeu est énorme et j’espère que vous allez prendre toute la mesure de l’importance de ce don que je vous demande de faire pour financer notre laboratoire indépendant en cliquant ici.

Une fois que cette mission sera accomplie j’utiliserais les moyens les plus modernes que j’aurais développé pour mettre au point un appareil portatif qui permettra à chacun de mesurer en temps réel si un aliment qu’il compte acheter sur un étalage contient des pesticides, des engrais chimiques, s’il a été irradié ou traité par la chaleur avant d’arriver dans votre assiette, cela poussera les producteurs à offrir des aliments de qualité afin que nous puissions apprécier la consommation de notre carburant d’origine.

Comme je vous l’avais annoncé dans mon livre, je vous rappelle que le montant que vous choisirez de donner au laboratoire peut vous servir de bénéficier d’une remise de 50 % maximum sur le prix de cet appareil dès qu’il sera disponible, en supposant qu’il coûte 2000 € au début par exemple, vous pourrez le commander pour 1000 € si votre don était de ce montant. Bien entendu, je ne peux pas vous promettre que je vais réussir à réaliser cet appareil ni de pouvoir le mettre au point dans un délai raisonnable, tout va dépendre du montant total de donations que vous tous allez verser en crowdfunding et des moyens technologiques que je réussirais à mettre en oeuvre pour réussir ce défi.

Si vous souhaitez soutenir cette démarche innovante au service ne notre intérêt commun, je vous invite à verser un don dès maintenant en cliquant ici.

Je vous rappelle que le fait de verser un don de 100 € pour SYMBIOLABIO vous donne la possibilité de vous exprimer librement sur le forum de symbioplanet en devenant un consommateur, symbio-producteur ou symbioseur militant.

Et quand vous avez versé un total de 1000 € pour SYMBIOLABIO, ce qui est possible en plusieurs fois, vous aurez la possibilité de poster des vidéos artistiques ou sur un thème d’actualité de votre choix dans le forum en devenant un consommateur, symbioseur ou symbio-producteur d’honneur.

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