Description
Je les choisis de préférence bio, sinon issus de l’agriculture raisonnée, ce qui n’est possible qu’en saison. Sur l’étalage, il faut que certains fruits soient déjà mûrs pour que j’aie l’assurance que ceux que je vais prendre mûriront aussi. Pour les nectarines, des petites tâches et une couleur sombre indiquent la probabilité d’avoir un bon taux de sucre.
En général, je peux les conserver trois à cinq jours entre 3 et 5°C.
Je les mange avec la peau. Après quatre pêches, je croque une graine, après avoir cassé trois ou quatre noyaux au marteau au préalable, ce qui démultiplie le plaisir gustatif que me procure la bouchée suivante. Et ce environ trois à quatre fois par repas de deux à trois kilos. Je précise que je n’ai pas toujours la possibilité de casser les noyaux. Je le fais de temps en temps, quand les circonstances le permettent. Dans tous les cas, les repas de pêches ou de nectarines apportent des effets irradiants et euphorisants très nets qui durent environ deux heures.
Dans le cas où je n’en ai pas assez, je commence par les pêches, en général un peu plus acides, pour finir avec les nectarines, sans compromettre l’intensité des effets irradiants, vu qu’il s’agit de fruits de la même catégorie.