Description
Je les choisis toujours les plus grosses et grasses possible, calibre 1 de préférence.
Je peux les conserver un à deux jours au maximum à 2°C.
Je ne les ouvre jamais à l’avance, puisque je ne sais jamais combien je vais en manger. J’ai donc trois assiettes : une avec les huîtres, une pour les ouvrir et une pour les coquilles. J’ai besoin de deux couteaux : un qui est très solide et pointu, mais vous pouvez utiliser un couteau à huîtres, et un autre au bout arrondi. J’introduis la pointe du couteau sur le côté où se trouve le nerf, en cassant délicatement un bout de coquille pour aider le couteau à se frayer un passage. Puis, une fois la pointe enfoncée d’environ un centimètre, je sectionne le nerf en faisant des rotations. Alors, avec le couteau arrondi, je coupe le nerf de la partie inférieure et je mange l’huître en une bouchée, directement dans la coquille, pour profiter d’un petit peu d’eau salée, sans tout boire systématiquement, cela dépend de mon envie du moment.
J’arrive à manger entre dix et dix-huit huîtres de gros calibre au cours d’un repas.
Il est évident que cela représente alors mon plat de résistance, car loin de moi l’idée de mélanger dans mon ventre ce merveilleux repas d’huîtres avec d’autres protéines,