Stages d’apprentissage

Tous les symbioseurs arrivés à l’étape 5 de la consommation de notre carburant d’origine, et qui ont un lieu d’accueil approprié, auront la possibilité d’organiser des stages d’apprentissage qui seront référencés sur symbioplanet.com .

Les conditions d’hébergement seront présentées avec des photos et des plans, à la manière des sites d’hébergement touristiques, avec un niveau de standing qui sera clairement affiché dès le départ. Les dates et les durées seront proposées par le symbioseur sur le site, en fonction de ses disponibilités. Des demandes pourront également être faites par les stagiaires pour d’autres dates.

Chaque consommateur pourra s’inscrire en ligne pour devenir stagiaire, n’importe où dans le monde, pour passer des vacances en faisant une cure de fruits, en se familiarisant avec la consommation de notre carburant d’origine et en profitant de l’expérience et de l’exemple des symbioseurs .

Il sera également possible de répartir les stagiaires dans des résidences de tourisme à proximité du lieu de conférence qui pourront être référencées dans le site symbioplanet.com . Mieux encore, il sera tout à fait possible d’envisager que le stage se déroule dans n’importe quel village-vacances, au bord de la mer ou à la montagne, dans un hôtel, sur un catamaran ou sur un paquebot de croisière, suivant l’imagination des symbioseurs et leur lieu de résidence.

Mon rêve est que nous remplissions un jour un paquebot avec plus de trois mille stagiaires et symbioseurs. Il faudra alors commander des tonnes de durians, d’avocats et tous les autres aliments de notre carburant d’origine pour le temps du voyage.

Ces stages permettront aux différents participants d’acquérir des connaissances. Les symbioseurs y partageront leurs expériences dans différents modules qui coûteront deux cents euros chacun, auxquels il faudra ajouter le prix de l’hébergement et des repas, qui devront être payés à la quantité consommée, afin d’éviter d’essayer de les rentabiliser en mangeant trop.

Module 1 :

la consommation de notre carburant d’origine ;

la sélection par l’odorat ;

La formule du plaisir ;

la découverte de nouveaux aliments de notre carburant d’origine ;

le séquençage de notre carburant ;

les étapes de la consommation de notre carburant d’origine ;

les repas de casse ;

l’approche sociale ;

l’approche familiale.

Module 2 :

le métier de symbioseur  ;

description de l’activité ;

la recherche et la fidélisation des consommateurs ;

la recherche des points de vente ;

le lancement de nouveaux symbio-producteurs ;

la logistique et la gestion du site symbioplanet.com ;

la rémunération des symbioseurs  ;

les conditions d’admission et l’enregistrement en ligne.

Module 3 :

le métier de symbio-producteur ;

description de l’activité ;

le financement de l’activité ;

la recherche de terres agricoles ;

la recherche des plants ;

la symbio-culture ;

la logistique et les récoltes ;

la rémunération des symbio-producteurs ;

les conditions d’admission et l’enregistrement en ligne.

Faire une cure ponctuelle

Quelle que soit l’étape de la consommation de notre carburant d’origine à laquelle se trouve le stagiaire, une cure est une occasion d’expérimenter la pratique de l’étape 5, que ce soit pendant un week-end, une semaine ou plus.

Cette cure ne doit pas être considérée comme une thérapie, mais comme un laboratoire expérimental dans lequel chacun pourra faire des découvertes sur lui-même. Il est intéressant de faire cette expérience sur un nombre limité de jours pour les raisons suivantes :…

Il est plus facile de renoncer totalement aux habitudes alimentaires en sachant qu’il sera possible de se rattraper quelques jours plus tard.

Cette période volontairement courte permet d’avoir un avant-goût des effets irradiants et euphorisants sans commencer le travail d’élimination, pour ceux qui ne sont pas encore arrivés à l’étape 4, en évitant de consommer la casse, de tester des fruits trop « sauvages » ou d’autres aliments inconnus, surtout si ceux-ci provoquent des réactions de dégoût annonçant qu’ils sont susceptibles de faire commencer le travail d’élimination.

En reprenant un repas traditionnel cuit à la fin de cette cure, il sera possible de constater qu’il fait instantanément perdre tout le bénéfice du bien-être physique acquis pendant la cure. Il faut savoir que ce phénomène est aussi radical après un mois ou un, dix ou vingt ans de pratique : on retourne à la case départ.

Cela permet de comprendre que plus notre corps est sain et purifié, plus il se révolte contre tous les aliments dénaturés qu’il tolérait pourtant bien avant, car la sensibilité augmente de jour en jour pour nous permettre de ressentir de plus en plus intensément les effets irradiants et euphorisants à l’origine du bien-être physique.

Cela permet de découvrir avec surprise qu’après plusieurs jours d’une telle cure, les aliments cuits peuvent paraître fades. En effet, il y a de grandes chances que les plats qui manquaient tant, n’apportent plus autant de plaisir gustatif qu’avant. Cette découverte peut être un grand pas en avant pour se débarrasser de l’envie de faire des écarts, souvent fatals, pour ceux qui décident de passer à l’étape 4.

La relaxation

Avant de prendre la décision de franchir les étapes de la consommation de notre carburant d’origine, il est indispensable de trouver un autre moyen de s’évader du stress de la vie courante. En effet, en l’absence d’alcool ou d’autres stimulants artificiels, on acquiert un état de lucidité permanent qui fait que le moindre problème peut prendre une importance démesurée et vous mettre dans un état de stress ou de tristesse en attendant de pouvoir profiter des effets irradiants et euphorisants.

Ce stage peut donc être l’occasion de proposer quelques techniques de relaxation, de la plus simple à la plus inattendue, pour que l’esprit réussisse toujours à garder une forme de sagesse en phase avec la consommation de notre carburant d’origine.

Promenades en forêt – découverte de plantes comestibles

Au début d’une promenade, si on est seul, il est probable que l’on pense à ses problèmes, et si on est accompagné, on aura tendance à avoir une conversation. Mais, au fur et à mesure que l’on avance, l’attention se porte de plus en plus sur la nature environnante. La beauté d’un arbre, des fleurs, d’un étang, du ciel ou d’un rivage font progressivement oublier toutes nos préoccupations, c’est que l’objectif est en train d’être atteint et que la vision de la nature fait son travail pour déstresser notre esprit.

Cela fait des millions d’années que nos yeux voient des arbres, ces images sont donc relaxantes, alors que les panneaux publicitaires, les voitures, les routes, les immeubles et tout ce que l’homme a construit enflamment notre cerveau. C’est pareil avec ce que l’on entend. Avez-vous remarqué comment les sons de la nature nous pénètrent ?

Mais le sens qui va le plus surprendre est l’odorat. Au fur et à mesure de votre pratique, il vous sera possible de sentir de plus en plus d’odeurs de fleurs, d’herbes ou de bois ou, comme je l’ai raconté à l’étape 5, celle d’un figuier à plusieurs centaines de mètres !

Essayer de marcher quelques mètres pieds nus sur une pelouse, c’est l’occasion de se concentrer sur la sensation agréable que cette caresse sur la plante des pieds procure. Même si cela peut paraître un peu ridicule, le but de cet exercice est d’utiliser tous les sens pour prendre conscience que notre corps fait bien partie intégrante de l’environnement. À défaut, on prend le risque de se promener comme si on était dans un avion qui survole les paysages.

Notre vie moderne nous a tellement éloignés de la nature que nous avons oublié tout ce qu’elle peut nous apporter, il est donc important d’apprendre à aimer son contact, en même temps que nous cherchons à aimer le goût des aliments de notre carburant d’origine.

C’est aussi pour cela qu’il est souhaitable d’organiser ce genre de promenades avec un accompagnateur qui connaît bien la botanique et qui pourra apprendre aux participants à reconnaître et goûter toutes les plantes comestibles qui font partie de notre carburant d’origine, comme les pissenlits, les artichauts sauvages ou des baies diverses, suivant les latitudes…

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