Étape 1 : découverte – repas de fruits

Voici ce qu’il est nécessaire de savoir pour passer à cette première étape :

avoir lu les chapitres précédents et l’intégralité de celui-ci ;

avoir la volonté de contribuer à la prévention du réchauffement climatique ;

avoir la volonté d’encourager le commerce équitable.

En ce qui me concerne, je n’ai pas commencé du jour au lendemain la consommation de notre carburant d’origine. Cela s’est passé progressivement, avec une concordance parfaite entre mon état d’esprit et ce que je choisissais de manger.

Pour commencer, il est donc plus simple de décider de ne manger qu’un repas de fruits par jour, de préférence le premier repas de la journée. Le petit-déjeuner peut alors n’être qu’un repas de melons ou de pastèques pour ensuite faire le vrai repas de fruits à midi avec des aliments de notre carburant d’origine disponible sur symbioplanet.com.

Mais rien n’est obligatoire pour réussir cette étape. Dans le cas où il vous est trop difficile de renoncer au petit-déjeuner traditionnel, prenez-le, du moment qu’il vous est possible d’obtenir suffisamment de plaisir gustatif avec des fruits lors du repas de midi en connaissant la formule du plaisir que j’ai défini au chapitre précédent.

La raison pour laquelle je pense qu’il est préférable de commencer la journée avec des fruits, c’est tout simplement pour que le besoin de glucides ne soit pas tout de suite comblé par les féculents de l’alimentation traditionnelle, ce qui annule le plaisir que ce principal nutriment procure en mangeant des fruits. En s’y prenant de cette façon, cette première étape de repas de fruits ne peut pas provoquer de frustrations puisqu’il n’est alors pas nécessaire de renoncer à quoi que ce soit de ses habitudes alimentaires, le repas du soir étant le même que d’habitude. C’est pour cette raison que je pense que la décision de faire des repas de fruits peut être prise sans aucune préparation particulière, sur la base d’une simple volonté de mieux s’alimenter ou de vouloir contribuer à inverser le réchauffement climatique, comme je l’ai développé dans le chapitre 1 : Action sur le climat.

Le premier objectif de cette étape est donc de découvrir par soi-même qu’il est possible de ressentir un plaisir gustatif intéressant avec les nombreuses variétés de fruits qu’il est possible de découvrir pour la première fois grâce au choix que l’on peut trouver sur symbioplanet.com.

Le chapitre précédent, sur la sélection de notre carburant, permet de prendre ses repères dans la consommation de notre carburant d’origine, mais peut également servir pour cette étape. Grâce à la formule du plaisir gustatif, nous pouvons savoir que pour apprécier le sucre des fruits il ne faut pas trop en consommer avant, donc ce serait bien de réduire les boissons sucrées d’une façon générale, y compris celle du petit-déjeuner, faute de ne pouvoir les éliminer tout de suite.

Le deuxième objectif de cette première étape est de comprendre le lien entre le plaisir gustatif que procurent les fruits, avec leurs effets irradiants et euphorisants, par rapport à des repas de sucreries, de gâteaux ou de féculents. En effet, je ne pense pas être un extraterrestre qui serait le seul à pouvoir ressentir les effets irradiants et euphorisants que procurent les aliments de notre carburant d’origine. J’espère que ce que je vis tous les jours, cette joie intérieure, suscitera suffisamment de curiosité pour donner envie à beaucoup de monde de découvrir cette première étape.

C’est donc bien en commençant par les fruits, qui procurent les effets les plus facilement reconnaissables, qu’il est possible de connaître cette prise de conscience essentielle pour passer à l’étape suivante. C’est également une très bonne occasion de faire découvrir aux enfants la véritable saveur des sucres naturels des fruits et leurs effets agréables pour qu’ils gardent cette expérience en mémoire tout le reste de leur vie, même s’il n’est pas possible de les empêcher de goûter à toutes les sucreries artificielles le temps qu’ils aient leur propre prise de conscience.

Il y a tout de même deux difficultés à surmonter : la première, c’est le fait que tout repas de fruits conséquent peut provoquer un travail d’élimination, car le corps peut en profiter pour jeter toutes les substances indésirables qu’il a accumulées au cours des années d’alimentation traditionnelle. Par conséquent, à la fin des premiers repas de fruits, au lieu de ressentir d’agréables effets irradiants et euphorisants, il est possible d’avoir un peu mal au ventre et de finir aux toilettes avec une bonne diarrhée.

Pour limiter ce désagrément, je conseille de ne pas chercher à se rassasier avec un aliment qui provoque une régulation métabolique, comme le durian, si son odeur provoque un dégoût.

D’une manière générale, tout fruit consommé pour la première fois peut provoquer ce genre de réaction, il est donc important de bien respecter tous les signes de la régulation métabolique qui indiquent à partir de quelle quantité cet aliment va commencer à provoquer un travail d’élimination.

La deuxième difficulté qu’il faut également surmonter vient de la formule du plaisir qui fait que pour apprécier les fruits il ne faut pas être saturé en sucres, ce qui est souvent le cas avec l’alimentation traditionnelle, que ce soit à cause des sucreries, des viennoiseries, des féculents ou des boissons sucrées qu’il faut donc réussir à consommer un peu moins souvent, ce qui n’est pas toujours facile au début, le temps de découvrir ces fameux effets irradiants et euphorisants qui font prendre conscience que le jeu en vaut la chandelle.

Voici quelques exemples de séquences de repas qui peuvent être celles des premiers pas vers la consommation de notre carburant d’origine :…

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