Le métier de symbioseur

Développer l’économie locale

Pour atteindre l’objectif de replanter un milliard d’hectares de forêts pour inverser le réchauffement climatique, il faudra fournir quatre kilos de fruits par jour à trois milliards d’humains.

Pour ce faire, je propose de créer un nouveau métier ayant pour objectif de permettre à tous ceux qui souhaitent retrouver une alimentation en symbiose avec la nature, et qui auront découvert cette possibilité sur le site symbioplanet.com.

Le symbioseur a lui-même la possibilité de faire découvrir notre carburant d’origine à toutes les personnes qui n’ont pas encore consulté le site, parmi ses amis, sa famille ou ses voisins, à l’intérieur d’un rayon d’action qu’il définit lui-même, par exemple vingt kilomètres en zone rurale ou dans sa rue ou son immeuble en zone urbaine.

Ce nouveau métier a pour objectif de recréer le lien entre la population et notre carburant d’origine, sachant que pour y parvenir nous avons besoin d’un milliard de symbioseurs autour desquels il faudra ajouter les métiers de pépiniéristes, et de symbio-producteurs.

Le potentiel de rémunération est très intéressant, car si on considère que les personnes qui souhaitent consommer notre carburant d’origine vont faire appel au symbioseur pour la moitié de leurs besoins, à savoir deux kilos de fruits par jour, cela fait déjà soixante kilos par mois, rémunérés à un euro par kilo, soit soixante euros pour le mois. Sachant qu’il y a trente personnes par mois à servir, cela fait déjà une rémunération de mille huit cents euros par mois.

En considérant que ses clients et ses producteurs se trouvent dans un rayon d’action d’environ vingt kilomètres autour du domicile du symbioseur cela lui prendra deux heures par personne. Donc avec trente personnes, ce travail de symbioseur occupera soixante heures par mois, soit quinze heures par semaine.

Mais ce n’est pas tout ! Le symbioseur aura également la mission de chercher dans son rayon d’action tous les propriétaires privés ayant des terres sur lesquelles pourraient être plantés des arbres fruitiers, même s’ils ne sont pas agriculteurs et qu’ils n’ont pas le temps de s’en occuper. Et s’ils n’ont pas l’argent pour payer les semences et l’arrosage, ils pourront s’appuyer sur le site symbioplanet.com pour financer tout cela, et ce partout sur la planète. Le symbioseur aura donc la possibilité de créer le compte du producteur en déclarant les surfaces qu’il souhaite planter et les variétés d’arbres fruitiers qu’il compte choisir. Ceci va automatiquement générer un montant à financer pour les graines, le pépiniériste, et l’arrosage qui sera calculé par le serveur symbioplanet.com.

Grâce au crowdfunding, les fonds seront versés par des contributeurs privés désireux d’investir dans la reforestation de la planète. Mais cette fois-ci ce ne sera pas à fonds perdus. En effet, ceux qui auront versé mille Euros de contribution auront immédiatement droit à dix centimes par kilo de remise sur tous les fruits qu’ils commanderont sur le site symbioplanet.com et ce définitivement.

Comme ce sera le travail du symbioseur de motiver les propriétaires privés qui n’ont pas encore de plantations d’arbres fruitiers ou des agriculteurs qui aimeraient dédier une partie de leurs champs à faire cette démarche de reforestation financée par symbioplanet.com, il aura droit à une commission de vingt centimes pour chaque kilo qui sera acheté dans ce verger par les clients de symmbioplanet.com, et ce à vie.

S’il participe à la cueillette, il aura droit à cinquante centimes par kilo en moyenne, selon la taille des fruits à cueillir.

Donc, si un symbioseur signe un accord avec un propriétaire qui l’autorise à cueillir des fruits dans son jardin, le propriétaire aura droit à cinquante centimes par kilo, symbioplanet recevra vingt centimes de frais de gestion pour le site et le symbioseur aura droit à vingt centimes pour avoir référencé ce producteur, plus vingt centimes pour avoir cueilli les fruits, quatre-vingts centimes pour les avoir livrés et vingt centimes pour avoir référencé un nouveau client sur symbioplanet.com. Ce qui fait un euro soixante dix pour un fruit livré à domicile qui coûte deux euros quarante le kilo. S’il renouvelle cette opération avec ses trente clients, sa rémunération passera alors à trois mille soixante euros brut par mois.

Développer les pays tropicaux

Il se trouve que la plupart des pays tropicaux ne bénéficient pas d’un grand essor économique à l’occidentale, et lorsqu’ils ont des richesses, elles sont souvent limitées à l’exploitation de minerais ou de pétrole qui ne profitent pas à leurs populations.

Les fruits exotiques représentent une grande partie de notre carburant d’origine dont les arbres ne peuvent être plantés que dans des pays tropicaux. Au fur et à mesure que la prise de conscience grandira, le nombre de personnes qui décideront de faire un repas de fruits par jour augmentera, ce qui fera des fruits exotiques une nouvelle devise qui n’enrichira pas les multinationales ou les gouvernements, mais directement la population, et plus exactement les symbioseurs .

De plus, les symbioseurs auront besoin de pépiniéristes, de propriétaires privés et de personnes qui feront pousser tous ces arbres et d’autres qui cueilleront les fruits. Tous ces gens bénéficieront également de toutes les retombées économiques. De plus, il est possible qu’en plus des propriétaires privés, des gouvernements décident de mettre à disposition des terres pour permettre la reforestation en arbres fruitiers, d’autant plus que symbioplanet leur reversera aussi les un centime par kilo qui correspondent au prix du fermage déduit de la marge du symbio -producteur qui aura pour rôle de faire pousser les arbres pour cinquante centimes par kilo et de récolter les fruits pour le même prix.

Je vais prendre un exemple avec deux fruits qui sont très difficiles à trouver dans les commerces. Pour avoir des safous et des mangoustans, qui poussent en République démocratique du Congo, il suffira de commander ces fruits sur la page d’un symbioseur domicilié à Kinshasa. Le site symbioplanet.com calculera automatiquement les commandes de tous les consommateurs situés dans le même rayon d’action du symbioseur ainsi que ceux qui ont accès à la plateforme de fret aérien du même aéroport pour permettre un regroupement de toutes les commandes de ces fruits. Grâce à ce regroupement de commandes, prépayées par les consommateurs, le symbioseur de Kinshasa pourra les expédier par fret aérien que symbioplanet.com paiera directement au transporteur après avoir négocié un prix compétitif de quatre euros par kilo pour le transport. Le symbioseur de Kinshasa gagnera trente centimes par kilo pour le transport entre les plantations et l’aéroport, et si c’est lui qui a fait la cueillette, il aura droit à cinquante centimes par kilo de plus et si en plus il a référencé le producteur dans le site, il aura droit à vingt centimes par kilo de commissions à vie, ce qui fait un total d’un euro par kilo.

Pour ce symbioseur habitant à Kinshasa, je prends l’hypothèse qu’il aura le temps de cueillir en moyenne quarante kilos par jour pendant un mois, ce qui fait mille deux cents kilos au total qu’il aura à livrer auprès du transporteur aérien de Kinshasa. Sans compter toutes les personnes qu’il peut servir sur place en produits locaux et, pourquoi pas, en quelques produits importés, puisque certains légumes ne poussent pas dans les pays tropicaux. Rien que le fret aérien à l’exportation lui rapportera déjà mille deux cents euros par mois.

Je reprends à présent mes chiffres pour inverser le réchauffement climatique. Cela nécessite une reforestation de trois milliards d’hectares d’arbres fruitiers. Imaginons qu’il n’y ait qu’un seul milliard d’hectares d’arbres fruitiers tropicaux à replanter qui produiront cinq milliards de tonnes de fruits exotiques à exporter chaque année. Cela fait cinq milliards d’euros à redistribuer à tous les symbioseurs de tous les pays tropicaux chaque année. À titre comparatif, le PIB de la République démocratique du Congo est de cinquante milliards de dollars.

Certes, à ce jour, il n’y a pas encore assez d’arbres à safous et d’arbres à mangoustans pour fournir cette quantité, mais le programme de reforestation en crowdfunding proposé par le site symbioplanet.com le permettra en quelques années, sans que les gouvernements aient besoin d’investir au-delà de leurs possibilités dans un tel projet.

Mieux encore, la part du fermage qui revient aux propriétaires, en imaginant que ce seront des États, est estimée à un centime par kilo pour cinq milliards de kilos de fruits à exporter, ce qui fait cinquante milliards d’euros au service de leur développement.

Mais le plus important sera d’avoir créé trois cent quarante-deux millions d’emplois de symbioseurs qui gagneront mille deux cents euros par mois juste pour cueillir et exporter quarante kilos de fruits par jour, auxquels il faudra ajouter tous les consommateurs locaux qu’ils pourront également servir.

Pour vous donner un élément de comparaison, en Europe il y a quatre cent quatre-vingt-dix millions de personnes actives dont trois cent cinquante millions qui ont un emploi effectif. Il est donc possible de prendre conscience qu’en prenant la simple décision de manger un repas par jour de quatre kilos de fruits, dont seulement un tiers serait des fruits exotiques, vous pouvez créer autant d’emplois dans tous les pays tropicaux de notre planète qu’il y en a actuellement dans toute l’Europe.

Ne pensez-vous pas que cela pourrait déjà commencer par résoudre les problèmes d’immigration ? Et je n’ai pas compté les emplois des six cent cinquante millions de symbioseurs qui vont réceptionner les commandes dans les aéroports des pays occidentaux, orientaux ou asiatiques pour ensuite les distribuer aux consommateurs.

Cela fait bien un milliard d’emplois créés à plus de deux mille euros par mois dans le monde entier. Comme par hasard, ne serait-ce pas, à quelque chose près, le nombre d’emplois que le coronavirus a détruit ? Et tout ceci pour des fruits à un prix au kilo de :

cinquante centimes pour le propriétaire pour la plantation des arbres et leur irrigation ;

vingt centimes de frais de gestion du site symbioplanet.com ;

cinquante centimes pour la cueillette des fruits ;

vingt centimes de commission pour le symbioseur qui a engendré cette nouvelle production ;

trente centimes de frais de transport entre le lieu de production et le fret aérien pour le symbioseur  ;

quatre euros pour le transport aérien ;

cinquante centimes de frais de douane ;

quatre -vingts centimes de frais de transport entre l’aéroport et les consommateurs ;

vingt centimes par kilo de commission pour le symbioseur qui a référencé le consommateur.

Soit un total de 7,20 € le kilo de mangoustans et de safous livrés à domicile, alors qu’aucun commerçant ne les vend en dessous de dix euros le kilo.

Dans le cas où il serait décidé d’expédier par voie maritime des fruits qui se conservent plus longtemps, comme des sapotilles, des canistels ou des sapotes mamey, le prix du transport passera de quatre euros à cinquante centimes par kilo. Ce qui fera des fruits importés à un prix au kilo de 3,00 €, livrés à domicile par le symbioseur .

Conditions d’admission au métier de symbioseur

Remplir une fiche de renseignements

Pour devenir symbioseur, il faut remplir une fiche de renseignements que tout client peut consulter dès qu’il est sur sa page pour passer une commande.

Télécharger une photo d’identité

La photo d’identité apparaît en haut à droite. Elle doit avoir été prise dans un photomaton agréé ou par un photographe professionnel.

Avoir un casier judiciaire vierge

Le postulant doit déclarer avoir un casier judiciaire vierge de toute condamnation pouvant nuire à son activité.

Puisque l’ensemble du réseau repose sur l’activité du symbio-seur et qu’il pilote les flux financiers, référence les producteurs             et livre les fruits, il est très important de pouvoir compter sur sa loyauté et son honnêteté.

S’il a été condamné avant ou au cours de son activité, il doit le signaler au comité d’éthique qui évaluera son maintien ou son exclusion probable si un contrôle révèle une fausse déclaration.

Dans ce cas, il continue de percevoir sa commission de vingt centimes par kilo pour les producteurs et consommateurs qu’il a référencé sur le site pendant une durée de douze mois après le jour de son exclusion, le temps d’organiser un recours éventuel.

Avoir un diplôme ou une expérience professionnelle

Les diplômes obtenus et les certificats de scolarité des universités fréquentées sans obtention de diplômes doivent être téléchargés pour apparaître en pleine page sur sa fiche.

S’il n’a aucune expérience professionnelle, il doit être diplômé au niveau bac dans n’importe quelle discipline ou avoir un brevet professionnel dans une des disciplines désignées ci-dessous.

S’il a cinq années d’expérience dans les domaines de l’agriculture, de l’informatique, de la logistique, du commerce, de la restauration, du tourisme ou du transport (livreur, coursier ou taxi, par exemple), il doit télécharger une attestation d’un employeur confirmant cette expérience.

Dans le cas où il n’aurait aucun diplôme ou aucune expérience professionnelle, il pourra quand même devenir symbioseur après avoir commandé le livre pour bien l’étudier et qu’il obtient une note de 18/20 au contrôle QCM, qu’il pourra refaire plusieurs fois.

Étape 1 (repas de fruits) et connaissances théoriques

Pour promouvoir le site symbioplanet.com et devenir symbioseur, le postulant doit avoir lu et intégré toutes les informations qui sont développées sur le site. Il est donc demandé d’étudier tous les chapitres du livre Notre carburant d’origine avant un contrôle des connaissances par QCM (questions à choix multiples) en ligne. Si la note est au moins de 14/20 le contrôle est réussi, si la note est au dessous, il pourra quand même faire son activité, à condition de refaire le QCM dans les semaines qui suivent son inscription jusqu’à obtenir 14/20 car ce sera une condition préalable pour percevoir ses commissions.

Certains extraits des chapitres sont disponibles en vidéo sur le site, mais rien ne vaut la lecture du livre pour bien assimiler.

En plus de la théorie, la démarche spontanée doit être de commencer …      L’idéal étant évidemment de progresser vers les étapes supérieures, de la confirmation à celle de la maîtrise, ce qui donne la possibilité d’organiser des stages d’apprentissage dans des sites d’hébergements touristiques, en échange d’une rémunération complémentaire.

Avoir un permis de conduire et une voiture ou un deux roues

Il doit avoir son permis de conduire, et celui-ci être visible dans sa fiche de renseignements.

Il doit avoir une voiture pour pouvoir se déplacer chez les producteurs, récupérer les commandes et les livrer chez les consommateurs. Il doit alors télécharger la carte grise du véhicule à son nom.

Dans le cas où il n’a pas de véhicule, il lui est possible d’en utiliser un qu’on lui a prêté. Dans ce cas, doit être visible sur sa fiche de renseignements la carte grise du véhicule avec l’autorisation d’utilisation du propriétaire .

Dans le cas où le véhicule est loué auprès d’un professionnel, la carte grise ainsi que le contrat de location signé par les parties doivent être consultables sur sa fiche de renseignements.

Les symbioseurs ayant un deux roues pourront également exercer leur activité à la manière des livreurs de pizza souvent plus rapides aux heures de pointe des grandes villes souvent embouteillées.

Ils devront alors télécharger leur permis deux roues si la cylindrée le nécessite et déclareront le poids maximum qu’ils pourront emporter sur leurs portes bagages afin que le site symbioplanet.com puisse le prendre en compte dans la programmation de ses livraisons à venir.

Tous les véhicules devront être photographiés sous tous les angles afin de placer les photos dans la page du symbisoseur pour que les consommateurs puissent les reconnaitre lors de la première livraison.

Avoir un Smartphone avec Internet

Le symbioseur doit avoir un Smartphone avec Internet pour obtenir les informations sur son activité en temps réel et son numéro de téléphone doit être joignable à tout moment de la journée. L’idéal est qu’il possède un ordinateur pour gérer son activité sur un grand écran, mais ce n’est pas une condition d’admission. Cependant, il doit au moins savoir utiliser un ordinateur afin de pouvoir se connecter sur le site dans un cybercafé, en attendant d’acheter le sien.

Géolocaliser son domicile ou son rayon d’action

L’adresse du symbioseur doit pouvoir être retrouvée par géolocalisation à partir du site symbioplanet.com s’il accepte que certains consommateurs viennent récupérer les fruits chez lui. Sinon, il indique son rayon d’action afin qu’il soit possible à symbioplanet.com de calculer automatiquement quel symbioseur pourra récupérer les commandes d’un nouveau consommateur.

Déclarer son activité aux autorités

Cette démarche n’est pas à effectuer au début de l’activité du symbioseur . En effet, chaque candidat bénéficie d’une période d’essai d’une durée illimitée. C’est le symbioseur qui décide à quel moment il se sent prêt, que ce soit basé sur le montant de ses honoraires ou sur ses relations avec les producteurs ou avec les consommateurs.

Pendant cette période d’essai, symbioplanet ne verse pas d’honoraires au symbioseur, mais il lui fait bénéficier d’une remise de soixante pour cent sur toutes les commandes qu’il fait pour sa consommation personnelle du carburant d’origine disponible sur le site symbioplanet.com, à concurrence du montant des honoraires qui lui sont dus.

S’il n’utilise pas l’intégralité de ses honoraires convertis dans cette remise de soixante pour cent, la différence reste disponible jusqu’au jour où le symbioseur fait la déclaration de son activité aux autorités.

En France, je conseille de créer une société à actions simplifiées unipersonnelle (SASU). Les statuts peuvent être téléchargés sur le site. Si le symbioseur souhaite s’associer (avec son conjoint, par exemple), il doit alors créer une SAS (société par actions simplifiées), mais dans ce cas seul le président sera connu en tant que symbioseur par symbioplanet.

Il est possible de choisir d’autres formes de sociétés ou le statut d’autoentrepreneur afin d’être en règle vis-à-vis des autorités concernant les impôts et les charges sociales.

Assurance responsabilité civile

Le symbioseur a l’obligation de contracter une assurance responsabilité civile pour couvrir les risques professionnels de son activité, et ce dès le premier jour. Cette attestation doit être visible sur sa page personnelle.

Les risques que cette assurance couvre sont les suivants :

Perte des marchandises transportées, vol, accident, pourrissement à la suite d’une grève ou d’erreurs de transports sur les longues distances. (Une photo de tous les aliments commandés par le consommateur doit être mise en ligne sur le site avant de fermer le carton d’emballage).

Intoxication alimentaire du consommateur. (Toutes les mesures de sécurité et d’hygiène en vigueur doivent être prises, de la cueillette jusqu’à la livraison).

Utilisation frauduleuse des moyens de paiement du consommateur ou publicité malveillante à l’encontre du symbioseur sur les réseaux sociaux ou sur les forums du site symbioplanet.com. (Tous les paiements doivent être effectués sur le site avec le concours des outils de paiements sécurisés).

Description de l’activité du symbioseur…

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