CORONAVIRUS UTILE

Voici un virus qui a réussi à provoquer une telle panique que la plupart des habitants de la planète ont l’obligation de rester confinés chez eux, en attendant d’avoir un remède ou un vaccin, car il faut limiter la saturation des services de réanimation.

Les politiques s’en sont remis aux scientifiques pour gérer cette crise et pour combattre le virus, avec pour effet secondaire la perte de milliers d’emplois et une récession sans précédent dans l’histoire moderne.

On applaudit les soignants, et les médecins, des généralistes aux épidémiologistes, viennent sur les plateaux de télévision pour expliquer qu’il faut se confiner et mettre des masques. Alors, avec tout le respect que j’ai pour la médecine, je trouve que pour la gestion de ce virus, elle montre ses limites.

Je vais faire le parallèle avec la mécanique pour vous expliquer mon point de vue car, après tout, notre corps est un comme le véhicule de notre esprit qui le conduit.

Imaginez un seul instant qu’à la demande des constructeurs, tous les États ordonnent de laisser tous les véhicules du monde (motos, voitures, camions, bateaux et avions) au garage car un virus informatique infecte les boîtiers électroniques et risque de provoquer des accidents mortels, avec une probabilité d’un pour cent. Accepteriez-vous que toutes les chaînes de télévision invitent des mécaniciens et des ingénieurs pour qu’ils nous répètent qu’ils ne savent pas encore comment éviter tous ces accidents et que la seule chose à faire, c’est d’arrêter de se déplacer ? Ne pensez-vous pas qu’au lieu de leur donner des milliards pour qu’ils trouvent la solution, comme on l’a fait pour la recherche d’un vaccin, on leur réclamerait tout simplement de nous rembourser ces véhicules défectueux qu’ils nous ont vendus ?

La mécanique est une science exacte ; les véhicules ayant été fabriqués de toutes pièces par les constructeurs, ils ont la possibilité de trouver et réparer le défaut, mais la médecine n’est pas, à ce jour, capable de fabriquer un corps humain et il reste encore beaucoup à apprendre sur son fonctionnement, même après avoir réussi à séquencer notre ADN.

Cette situation nous a fait prendre conscience que la médecine fonctionne d’une façon empirique. Elle fait des hypothèses qu’elle essaie ensuite de valider, certes avec un protocole scientifique, pour tester un traitement ou un vaccin afin que le pourcentage de bienfaits soit supérieur aux effets indésirables. C’est comme si on acceptait qu’un mécanicien répare une panne moteur qui induirait l’arrêt du compteur de vitesse ou de la radio pendant plusieurs jours et qu’il considère que c’est « un effet indésirable inévitable » de son intervention.

Mais quand l’effet indésirable du confinement et des mesures sanitaires, c’est la destruction d’une grande partie de l’économie de notre planète, on peut peut-être chercher une autre hypothèse que celle que la médecine a formulée, à savoir que le virus est un ennemi du corps humain qu’il faut combattre par tous les moyens, quel qu’en soit le prix.

Je ne suis pas en train de dire que le corps médical ne fait pas un travail remarquable avec un dévouement sans faille et une mobilisation maximale pour trouver la solution en l’état actuel de ses connaissances, mais lorsque les hypothèses d’une science empirique conduisent notre civilisation à renoncer à ses libertés les plus fondamentales, en privant des milliards de gens de leurs moyens de subsistance, c’est qu’il est peut-être temps de réfléchir à d’autres hypothèses.

Pour les formuler, je vais faire appel à votre intuition, en vous rappelant que dans la nature tous les êtres vivants sont interdépendants et vivent en symbiose. Les abeilles pollinisent les fleurs des arbres qui portent des fruits que nous mangeons et nous plantons les graines qui donnent des arbres. Nous devons donc aux abeilles le miel et les fruits. Même si leurs piqures peuvent parfois provoquer des allergies mortelles, elles sont loin d’être nos ennemies. Le seul prédateur qui réussit encore à nous tuer par millions chaque année est le moustique, en nous injectant le parasite du paludisme. Son taux de mortalité sans traitement est supérieur à cinquante pour cent, avec plus de la moitié des décès avant cinq ans. Voilà un vrai comportement de prédateur ! Heureusement, la médecine a trouvé un traitement.

Sachant que le coronavirus tue moins d’un pour cent des personnes qu’il infecte, on peut se demander s’il a vraiment le profil d’un prédateur qu’il faut combattre !

Mais quel rôle pourrait jouer ce coronavirus dans la nature où tous les organismes vivent en symbiose si ce n’est pas un prédateur ? Pourrait-il nous être utile ? La toux, le nez qui coule, la diarrhée ou la fièvre ne pourraient-ils pas tout simplement être des moyens qu’à notre corps d’éliminer des matières indésirables ? Trouverait-on normal de faire un vaccin contre la diarrhée qui priverait alors le corps de la possibilité se débarrasser de matières indésirables accumulées dans ses intestins ?

Face à ces questions, ne sommes-nous pas en droit de nous demander si la nature n’a pas prévu qu’un virus puisse se poser sur nos cellules ? Donc, avant de chercher à le détruire, mais sans remettre en cause les recherches qui vont conduire à l’élaboration d’un vaccin et d’un traitement, il me semble important de se demander si la nature n’a pas prévu le rôle que ce virus pourrait jouer dans notre corps, en symbiose avec notre organisme.

Cette hypothèse a déjà été formulée depuis de nombreuses années par le docteur Seignalet qui a introduit la notion de « maladies utiles » qui permettent au corps d’éliminer quelque chose et dont il sait guérir tout seul, contrairement aux maladies dégénératives, comme le cancer, dont l’issue est fatale.

Grâce aux avancées récentes de la biologie moléculaire, symbioplanet.com a comme objectif d’apporter des réponses scientifiques à cette hypothèse, formulée par le docteur Seignalet, en finançant un laboratoire de recherche en biologie moléculaire indépendant, grâce au crowdfunding, pour saisir cette occasion historique de pouvoir se remettre en question sur les sujets suivants :

Un virus peut-il permettre au corps d’éliminer des matières indésirables ?

Les personnes qui décèdent d’une forme sévère de la maladie ne sont-elles tout simplement pas capables de faire cette élimination face à une trop grande quantité de substances indésirables accumulées dans leur organisme ?

Quelle est l’influence de l’alimentation dans le processus des infections virales et quelles matières indésirables le corps cherche à éliminer ?

On sait déjà que le surpoids augmente les chances de faire une forme sévère comme l’attestent certains articles [1] .

Au vu de ces statistiques, ne pourrait-on pas se demander lequel du virus ou du surpoids est le véritable tueur ? Dans la nature, la plupart des animaux sauvages qui consomment leur carburant d’origine ne meurent pas de la plupart des virus, aussi ne pourrait-on pas aussi se demander si notre vulnérabilité ne serait pas liée au fait que nous avons dénaturé notre alimentation ?

En France, chaque année, environ trois cent mille personnes meurent d’un cancer ou de maladies cardio-vasculaires. Alors, imaginez quelle découverte révolutionnaire les chercheurs pourraient faire s’ils arrivaient à démontrer que le virus permet d’éliminer les matières indésirables qui sont à l’origine de maladies causant cinquante pour cent des décès chaque année !

Cela ne pourrait-il pas expliquer pourquoi très peu de femmes font des formes sévères de la maladie ? Contrairement aux hommes, elles ont l’occasion d’éliminer des matières indésirables chaque mois, à l’occasion de leurs menstruations.

Voici donc toutes les questions auxquelles l’étude scientifique pourra répondre, grâce au laboratoire de recherche en biologie moléculaire que chacun d’entre nous peut financer en crowdfunding. L’enjeu est énorme, car en fonction des résultats de cette étude scientifique, notre civilisation aura la possibilité de choisir entre les deux modèles de société suivants :

Le virus provoque une maladie utile

Le virus est un ennemi à combattre

Les citoyens ont le pouvoir

La médecine prend le pouvoir

De se déplacer librement

D’imposer le confinement

De voyager dans le monde entier

De fermer les frontières

De travailler librement

D’interdire ou limiter certaines activités

De vivre dans une économie verte et prospère

De provoquer la plus grave crise économique

D’acheter des variétés de fruits au marché

De fermer la plupart des marchés

De garder son pouvoir d’achat

D’augmenter les dépenses de santé

De bénéficier des bienfaits des repas de fruits

De nous traiter avec des effets indésirables

De pouvoir respirer de l’air pur sans CO2

D’imposer le port du masque

D’interdire la dissimulation de son visage

D’imposer le port du masque

De pouvoir faire un sourire à quelqu’un

D’imposer le port du masque

De rencontrer son âme sœur par son visage

D’imposer le port du masque

D’aller voir qui on veut

De se méfier de tout le monde

De profiter de l’expérience des séniors

D’isoler les séniors du reste du monde

Nos gouvernements ont investi des milliards pour la recherche d’un vaccin pour faire la guerre au coronavirus, comme les médecins leur ont demandé de le faire, en partant de l’hypothèse qu’il s’agit d’un prédateur qu’il faut éliminer. Mais qu’en sera-t-il si un autre virus ou un nouveau mutant apparaissent, comme cela a toujours été le cas dans l’histoire ? Les remèdes et les vaccins ayant toujours une longueur de retard, aurons-nous alors les moyens de continuer à faire tourner notre économie à crédit le temps de revacciner tout le monde ?

En prenant en compte l’hypothèse que le coronavirus provoque une maladie utile qui permet au corps humain de se débarrasser de substances indésirables introduites par l’alimentation traditionnelle, l’approche est alors tout à fait différente. Nous nous demanderons quels sont ces aliments qui introduisent des substances indésirables dans notre organisme, avec le concours du laboratoire de biologie moléculaire financé en crowdfunding, qui pourrait déjà commencer à faire des études sur le passé alimentaire de tous les cas qui ont développé une forme sévère de la maladie.

Puisque nous dépensons des milliards pour faire la guerre au virus, ne pourrait-on pas aussi faire la guerre au surpoids ainsi qu’à tous les aliments qui en sont la cause, ce qui permettrait de faire des économies sur les dépenses de santé ? Au lieu de détruire des emplois, ne pourrait-on pas juste prendre des mesures de protection pour ces populations à risques du fait de leur surpoids qui représentent plus de quatre-vingts pour cent des admissions en réanimation ?

Voici donc le cas de conscience qui se pose à l’humanité. Un virus a eu raison de notre mode de vie en nous imposant la pire récession de l’histoire depuis la seconde guerre mondiale et l’hospitalisation de toute la planète. Tout le monde doit être masqué et nous devons nous tenir à distance les uns des autres, alors que les statistiques montrent que le vrai responsable est l’alimentation quand elle engendre du surpoids.

À présent, nous ne pouvons plus nous dire que nous pouvons manger ce que nous voulons au nom de la liberté, puisqu’à cause de ça nous venons de perdre toutes nos libertés les plus fondamentales. Vu que la médecine menace de changer durablement nos vies, ne pourrions-nous pas modifier nos habitudes alimentaires, puisque nous connaissons le lien entre les formes sévères et le surpoids ?

Alors que le monde entier est en train d’investir des milliards dans la recherche médicale pour tuer un virus, nous pouvons être des milliards à investir dans une véritable recherche scientifique, à savoir la recherche de la véritable cause du problème, sans partir de l’hypothèse restrictive qui veut que le virus soit l’ennemi et que ce n’est pas notre alimentation.

De plus, comme il est désormais établi que ce n’est même pas le virus qui tue, mais une réaction inflammatoire pulmonaire, les scientifiques de notre laboratoire de recherche indépendant pourront aussi avoir la mission de démontrer qu’il existe une influence de l’alimentation sur les réactions inflammatoires en général.

La plupart du temps, on ne finance des recherches médicales que pour déboucher sur un traitement ou un vaccin qui permet aux laboratoires de faire des profits financiers. Si cette recherche est financée en crowdfunding et qu’elle découvre quels aliments sont à l’origine des problèmes, cela ne rapportera pas d’argent, mais cela évitera à chacun d’en dépenser pour se soigner.

Alors chacun peut verser une toute petite part de ses revenus : dix euros, cent euros, mille euros, ou plus, selon ses moyens, juste pour que les recherches de notre laboratoire de biologie moléculaire indépendant, financé grâce au crowdfunding, nous permettent de connaître la vérité.

Si nous continuons de croire que la médecine a raison de nous interdire de respirer de l’air pur en nous imposant un masque, pour encore de nombreuses années, puisqu’après la COVID-19 il y aura la COVID-20 et la COVID-21, sans compter la grippe saisonnière qui fait chaque année entre dix mille et vingt mille morts en France, tout restera comme ça. Mais nous pouvons réaliser que nous sommes faits pour vivre en symbiose avec la nature et que nous devons avoir la liberté de respirer des gouttelettes de virus. Et nos chercheurs doivent démontrer que le coronavirus est utile et le rôle que l’alimentation joue dans les formes sévères…

Facebook
Twitter
WhatsApp
Email
Information

Autres articles

Translate »